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RCA - Chef de Projet

Bangui

  • Organization: COOPI - Cooperazione Internazionale
  • Location: Bangui
  • Grade: Mid/Senior level - Mid/Senior - Internationally recruited position
  • Occupational Groups:
    • Operations and Administrations
    • Agriculture and Forestry
    • Nutrition
    • Project and Programme Management
  • Closing Date: Closed

Intitulé du Poste: Chef de projet

Titre Projet/Programme: Projet d’appui à la relance des filières de l’élevage urbain et périurbain en République Centrafricaine

N.B. Le projet attend la possible approbation

Responsable hiérarchique : Chef de mission/ réfèrent technique du siège de Milan

Equipe expatriés directement gérée: 1-2 personnes

Equipe national directement géré: 10-20 personnes

COOPERAZIONE INTERNAZIONALE (COOPI) est une ONG italienne, indépendante et laïque, engagée dans la lutte contre les injustices sociales et la pauvreté dans le Sud du monde et dans la construction d’un futur dans lequel soient garantis pour tous des bonnes conditions de vie, le respect des droits et la parité des opportunités. Depuis 1965, COOPI a réalisé plus de 600 projets de développement et interventions d’urgence dans 50 pays, employant plus de 30.000 opérateurs locaux et assurant un bénéfice direct à plus de 50 millions de personnes. En Afrique, en Amérique Latine, en Asie et dans l’Europe de l’Est, COOPI favorise l’accès à l’eau et le droit à la santé et à l’instruction des communautés les plus pauvres. COOPI assure aussi une assistance immédiate et à long terme aux populations touchées par les guerres ou les catastrophes naturelles.

Le siège central de COOPI est à Milan, Italie, mais pour la réalisation des projets COOPI s’appuie sur un réseau de sièges périphériques (régionaux et nationaux) dans les pays où ses activités sont plus importantes. Pour plus d’information consulter le site web : www.coopi.org

COOPI en République Centrafricaine depuis 1974

RCA connaît depuis la fin 2012 la pire crise humanitaire depuis son indépendance en 1960, provoquée par des affrontements entre groupes armés, et des violences intercommunautaires qui ont dévasté ce pays dont la population est victime d’une extrême pauvreté. Si des milliers de vies ont été brisées, la conséquence principale de cette catastrophe est qu’au début de l’année 2017, plus de la moitié des centrafricains environ 2,7 millions de personnes, avait encore besoin d’assistance humanitaire. COOPI a assisté les populations les plus touchées par la crise en 2016, et a mis en œuvre des projets d’urgence dans les différents domaines de la Sécurité Alimentaire, Protection (enfants vulnérables et EAFGA, Enfants Associés aux Forces et Groupes Armés, aide aux victimes de la crise et aux survivants aux violences sexistes, réfugiés et déplacés, soutien à distance), Education, (Droits de l´homme et Réhabilitations), Distribution alimentaire et Reconstruction Précoce (construction et réhabilitation d’infrastructures).

Contexte et enjeux du poste.

L’objectif général de l’action est de contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle de la population de Bangui à travers un appui à la relance de la production alimentaire, de la gestion des enjeux intercommunautaires et du renforcement des capacités institutionnelles. Pour y parvenir l’action se concentre sur la filière du petit élevage urbain et périurbain, visant le renforcement qualitatif et quantitatif de l’offre de produits animaux sur le marché de la Capitale et ses environs. En faisant cela, la sécurité nutritionnelle de la population entière de la ville, estimée à environ 1 400 000 individus (projection ICASEE, 2013) sera améliorée, car elle aura accès à des protéines de qualité à un prix abordable. De même une source importante d’emploi urbain et périurbain tel que l’élevage à petit échelle sera remise en valeur avec des effets positifs sur la capacité de génération de revenus stables. Enfin la redynamisation des filières de l’élevage sera une occasion profitable pour les communautés de Bangui. Ces dernières sont divisées et parfois en conflit les unes contre les autres suite aux violences des quatre dernières années, en reprenant un travail pour le bien commun, l’établissement et l’entretien des liens marchands ainsi que les fonctionnements de la chaine de la valeur rendent nécessaires seront autant des piliers de la coexistence pacifique et de la cohésion sociale.

La contribution de l’action à la production des impacts ci-dessus mentionnés passe par le renforcement des performances économiques et organisationnelles des filières du petit élevage dans les arrondissements de la Capitale et les Communes de Bimbo et Bégoua, qui est l’objectif spécifique que le Consortium envisage d’atteindre.

Ce renforcement demande une véritable travail de reconstruction : selon le CFSAM le sous-secteur du petit élevage, comprenant la volaille, les petits ruminant et les porcs, a en fait perdu au moins 57% des animaux durant la crise, à cause des vols, des abattages et des ventes d’urgence effectuées pour faire face aux besoins alimentaires quotidiens. Un niveau encore plus grave de détérioration affecte les infrastructures matérielles et immatérielles à support du fonctionnement des filières : les usines de production des aliments zootechniques ont été pillées et détruites, la chaine d’approvisionnement des matériels d’élevage s’est effondrée, les services vétérinaires ont cessé de fonctionner (la dernière campagne de vaccination remonte à 2012), les boucheries professionnelles et les marchés d’écoulement ne sont plus accessibles. Cette situation a contraint l’élevage banguissois à replier sur une modèle d’exploitation prémoderne, extensive, à très faible intensité de capital et productivité. Sans nier la valeur que le secteur continue à jouer pour la résilience des ménages – quasiment tout centrafricain détient des animaux domestiques comme capitalisation de réserve à mobiliser en cas de chocs ou d’occasions sociales importantes -, il est pour autant obligatoire d’affirmer que la contribution du petit élevage sédentaire à l’économie nationale et à la sécurité alimentaire à plus large échelle est devenue marginale voire inexistante, en dépit de son remarquable potentiel, qui est mise en exergue par le Plan National d’Investissement Agricole pour la Sécurité Alimentaire (PNIASAN, 2013).

Ce retour massif à l’informel a eu des effets catastrophiques aussi sur les dispositifs étatique et paraétatique d’encadrement : l’ANDE, Agence Nationale pour le Développement de l’Elevage, déjà affectée par une faiblesse budgétaire structurelle, ne bénéficie plus d’allocations financières publiques depuis 2012 à cause de la rupture des flux des recettes fiscales, lors que ses structures et ses laboratoires sont désormais dépourvus d’équipements, matériaux et personnel. La FNEC, Fédération Nationale des Eleveurs Centrafricaine, ainsi que les faitières qui y font référence – ANGAC, ANEP et FNPAC -, n’ont plus ni du budget opérationnel ni des équipements, à cause de l’interruption de la collecte des cotisations des membres associés.

Responsabilités

Objectif global du projet :

Contribuer à renforcer la sécurité alimentaire des ménages de Bangui et ses environs par l’augmentation de l’offre de protéines animales de qualité à un prix accessible.

Objectifs spécifiques :

Renforcer les performances économiques et organisationnelles des filières du petit élevage dans les arrondissements de Bangui et les Communes de Bimbo et Bégoua

Résultats attendus :

  • 1000 éleveurs ont un accès sécurisé aux intrants critiques de production: aliments, produits vétérinaires, matériels et services financiers de base
  • 1000 éleveurs utilisent de manière effective et permanente les services d’encadrement technique et organisationnel mise à disposition par les agences étatiques compétentes et les organisations faitières
  • La production zootechnique de Bangui et ses environs est écoulée sur les marchés de la Capitale de manière rentable

Activités :

  • Mise à jour et intégration de la ligne de base se basant sur les enquêtes déjà réalisées par COOPI et CORDAID/CRS/LERSA
  • Organiser l’Atelier de démarrage
  • Mise en place et accompagnement technique et managérial d’un système de reproduction et distribution marchande des géniteurs:

– 2 stations avicoles (Bimbo et 6° arr.)

– 1 station de reproduction des porcs

– 1 station piscicole

  • Réhabilitation complète de l’usine de fabrication des aliments bétails de la FNEC (Bangui, 6° arr.), mise en place et accompagnement de son dispositif de gouvernance.
  • Appui aux agriculteurs vivriers opérants dans le rayons de 35 Km de Bangui pour la production d’intrants de fabrication d’aliments bétail améliorés (mais, arachide, soja) et leur contractualisation avec la FNEC
  • Mise en place et accompagnement fonctionnel de 12 boutiques de distribution des intrants de l’élevage pour la vente des proximité d’aliments bétail, intégrateurs, produits vétérinaires, matériel d’élevage
  • Mise en place du fonds d’appui à l’approvisionnement en intrants (FAAI) sous la tutelle de la FNEC, avec deux cycles de distribution de vouchers qui couvrent à 100% l’achat des intrants la premier et à 50% le deuxième
  • Mise en place et accompagnement de 50 caisses de résilience (chacune regroupant 20 à 25 éleveurs/éleveuses)
  • Redynamisation du dispositif de vulgarisation et d’appui/conseil à la production zootechnique et l’associationnisme paysan, à travers la relance de la cellule d’animation mutualiste de la FNEC, en charge de vulgariser les itinéraires d’élevage, accompagner les opérations d’élevage, renforcer les capacités des producteurs dans tous les aspects de la gestion associative, y compris l’accès au crédit, le marketing, l’action collective, la sécurisation foncière, la cohésion sociale)
  • Appui au fonctionnement du dispositif d’animation de la FNEC (planification, accompagnement opérationnel, mentorat, suivi et évaluation)
  • Appui à la création et à l’opérationnalisation d’une cellule de promotion commerciale des produits du petit élevage de Bangui et ses environs au sein de la Chambre de l’Agriculture, en charge de collecter et organiser les informations de marché (en collaboration avec FAO: zones de production, qualité, quantité et prix des produits concernés) et faciliter les relations marchandes entre les éleveurs et leurs instances de représentation d’un côté et les clients de l’autre coté
  • Création d’un centre commercial pour la vente directs aux consommateurs des produits du petit élevage banguissois frais et congelés (équipements, formation, fonds de roulement et suivi) sous la tutelle de la FNEC et en collaboration avec la Chambre de l’Agriculture
  • Fourniture des équipements basiques et des consommables nécessaires à la remise en fonction du laboratoire d’analyse de l’ANDE
  • Organisation d’une évaluation mi-parcours
  • Organisation d’une évaluation finale
  • Organisation d’un Atelier de clôture

Résultats attendus :

Atteinte des résultats escomptés du projet dans le respects des engagements pris avec le bailleur de fonds, les partenaires, les bénéficiaires et l’organisation.

Objectifs du poste :

Placé sous l’autorité directe du Chef de Mission et en collaborant activement avec les responsables des services de la coordination (programmes, administration, logistique), le chef de projet dans le respect des procédures du bailleur de fonds et de COOPI, assurera les taches suivantes :

  • Coordonner la planification, la mise en œuvre, le suivi, l’évaluation des activités selon l’action définie dans le narratif approuvé du projet.
  • Gérer l’allocation des ressources du projet – humaines, financières, matérielles, et informations- en collaboration avec les Directions/Unités compétentes du CONSORTIUM entre les ONG internationales COOPI, CRS et CORDAID et les nationales: CARITAS, CALEBASSE et la FNEC afin d’assurer que les équipes du projet disposent des moyens nécessaires pour la bonne conduite de leurs activités; ceci en assurant le respect des procédures du bailleur de fonds et de COOPI.
  • Assurer le rapportage technique et financier en conformité aux Conventions de financement avec les bailleurs
  • Assurer la communication externe vis-à-vis des partenaires institutionnels, des autorités locales, de la Communauté Internationale
  • Connecter et créer des synergies entre les équipes du projet et les acteurs clés.
  • S’appuyez sur le Comité de pilotage du projet composé par toutes les ONG membres de consortium en répondant devant sa l’Unité de direction par rapport à l’avancement des activités, monitorage et rapportage.

Responsabilités du Chef de projet:

1. Sur le plan organisationnel : faciliter la communication et les liaisons

  • Développer et maintenir des relations fortes avec les partenaires et collaborateurs de l’opération – aux niveaux organisationnel et institutionnel;
  • Faciliter la communication entre les équipes du projet à travers les réunions, les contacts réguliers et l’utilisation des outils de communication ;
  • Veiller à la cohérence des activités/ stratégies : organiser des réunions entre les partenaires afin de stimuler l’échange d’informations, d’harmoniser les stratégies et les méthodologies, de proposer et de définir des approches et stratégies communes…
  • Gérer les interactions journalières avec les acteurs et fournir des informations appropriées et à temps lorsque celles-ci sont requises.
  • Développer en collaboration avec le Comité de pilotage du Consortium, des outils appropriés pour faciliter le partage d’information, aussi bien avec le grand public (ex. Site Web et Média), qu’avec les acteurs clés (ex. paysans, communautés de base, autorités locales compétentes, ambassades) ;
  • Superviser la planification, la structure, l’évaluation et la production des comptes rendus des réunions du projet.
  • Assurer un suivi sectoriel des projets et participer au processus d’assurance qualité pour garantir la réalisation optimale des interventions
  • Veiller à la cohérence des activités des programmes : organiser des réunions de relais entre les programmes afin de stimuler l’échange d’informations, d’harmoniser les stratégies et les méthodologies, de proposer et de définir des approches et stratégies communes
  • Stimuler une dynamique sectorielle pour l’analyse, l’étude des questions sectorielles et transversales, la concertation et le partage d’expériences.
  • Identifier les besoins d’appuis techniques ponctuels et mobiliser les ressources ad hoc, missions d’échanges, etc…).
  • Soutenir la conception et la mise en œuvre des stratégies de la sécurité alimentaire/ développement rural et contribuer à la définition des stratégies auprès de la Coordination de COOPI RCA;

2. Sur le plan opérationnel / logistique : suivi des activités de la coordination des opérations

  • Créer, mettre en œuvre, évaluer et réviser les plans de travail et les chronogrammes des activités du projet, et assurer l’allocation appropriée des ressources;
  • Jouer un rôle central dans la planification, la revue et l’évaluation du projet.
  • Coordonner la rédaction des rapports officiels du projet ;
  • S’appuyant sur le travail de Comité de pilotage justifier et présenter devant le Responsable de Chef de file de consortium les documents de suivi rapports, les rapports etc.
  • Gérer les procédures internes pour l’équipe du projet (ex. classement des dossiers, besoins d’IT, reportage interne) ;
  • Appuyer les équipes du projet pour qu’elles se conforment aux règles et principes organisationnels, comme par exemple, la politique de formation, publication des modules de formation/ sensibilisation, présentation au niveau institutionnel, les lignes directrices des éthiques
  • Elaborer un plan d’achats en consultation avec le coordonnateur logistique de pays et la logistique de pays; ceci dans le respect des procédures du bailleur de fonds et de COOPI
  • Assurer l’exécution des contrats avec les fournisseurs et prestataires de services;
  • Faire de la mise à jour l’inventaire;
  • Garantir la supervision des données logistiques (consommation, stocks, distributions) et l’analyse de celle-ci;
  • Assurer le bon fonctionnement du système de communication en ce qui concerne également le plan de la sécurité, qui a la responsabilité de l’application;

3. Sur le plan administratif / financier : gestion des comptes du projet

  • Elaborer une programmation financière pour l’exécution du budget en utilisant les outils prévus (preppy) ;
  • Supervision de la gestion et de la comptabilité du programme. Suivi de la planification budgétaire, les dépenses du projet avec l’administrateur du projet et l’administration du pays;
  • Assurer suivi budgétaire, monitorage financier et administratif mensuel à travers les outils de COOPI pour la planification des dépenses et de la gestion financière et administrative (la comptabilité, réconciliation de caisses etc.)
  • Contribuer à la rédaction de rapports financiers en garantissant le respect des échéances avec la coordination pays, les bailleurs de fonds et des partenaires
  • Préparer les ébauches des correspondances et les réponses aux demandes à la base sur le projet.
  • Représenter le Chef de mission/ Chargée des Programmes aux réunions et ateliers du projet lorsque cela s’avère nécessaire.

4. Sur le plan administratif / gestion de ressources humaines:

  • Assurer la mise en place de règles de Règlement pour la gestion du personnel local / Règlement pays COOPI RCA avec l’administration : le responsable des RH Staff national pour le personnel du projet ;
  • Assurer en ce qui concerne les procédures de recrutement, le développement des TdR et la question des contrats, alors la gestion ordinaire (congés, absences, des évaluations, des propositions de sanction, etc.);
  • Superviser des mouvements de personnel dans le respect des formalités administratives et les règles de sécurité;
  • Surveiller, évaluer le point au personnel de terminaison;
  • Appliquer des règles de procédure au personnel national de suivi;
  • Définir des besoins de formation ou de renforcement du personnel et toutes autres tâches nécessaires à la mise en œuvre correcte et en temps opportun du projet, identifiés d’un commun accord et toutes autres tâches nécessaires à la mise en œuvre correcte et en temps opportun du projet, identifiés d’un commun accord.

Et toutes autres taches nécessaires à la bonne et ponctuelle réalisation du projet, ou action demandé par la coordination pays dans le cadre d’intervention.

Profil du candidat

ESSENTIEL

Savoir/ avoir expérience :

  • Etre titulaire d’un diplôme de formation en économie, ou en coopération au développement, d’un ingénieur en sciences agraires/ agronome/zootechnicien dans un domaine en relation avec l’agriculture/élevage doté (e) d’une formation universitaire supérieure de type Bac +5;
  • Avoir une d’expérience avérée min. de 5ans de travail en gestion de projets multisectoriels en consortium avec les ONG internationales et nationales avec les agences étatiques agricoles avec le component d’élevage/pisciculture en Afrique subsaharienne et en particulier en Afrique centrale;
  • Avoir une expérience ou un intérêt sur la recherche portant sur les systèmes de production, la formation, le renforcement de capacités et/ou l’agriculture durable dans les milieux d’Afrique subsaharienne;

Savoir-faire :

  • Etre immédiatement opérationnel, innovant et capable d’entreprendre et de mener à terme des initiatives, ainsi que l’établissement de bons réseaux dans le domaine du partenariat ;
  • Avoir une excellente capacité d’écoute, de dialogue et de collaboration entre des différents partenaires sur un même projet,
  • Posséder une bonne élocution en public et une excellente capacité rédactionnelle ; bonne capacité d’animer les groupes de suivi, d’évaluation et de rapportage ;
  • Démontrer des compétences en diplomatie, tout comme des capacités de conviction et de négociation ;
  • Avoir une excellente maîtrise de la langue française tant à l’écrit qu’à oral ;
  • Etre un excellent communicateur/ savoir parler en public notamment vis-à-vis des partenaires, des agences étatique, cadres de gouvernements et des partenaires au développement, et être proactif.
  • Etre autonome dans la gestion des priorités, savoir prendre des décisions dans l’urgence, et établir une relation de confiance avec ses interlocuteurs;
  • Avoir une habilité à former, orienter, motiver et accompagner les équipes internationales ensembles avec les nationales;
  • Avoir le sens de l’organisation, de la bonne planification, et être habilité à résoudre les problèmes;
  • Démontrer une habileté pour la rédaction et l’édition des rapports/ documents/ modules de formations ;
  • Etre compétent dans la collecte, la gestion et/ou l’analyse des données ;
  • Avoir une bonne maîtrise de l’outil informatique, particulièrement Microsoft Office ® et plusieurs autres logiciels couramment utilisés ;
  • Posséder une excellente gestion du stress, capacité à s’adapter à un environnement avec un niveau d’insécurité /zone de conflits etc.;

Savoir -être :

  • Etre ouvert, capable de travailler dans les équipes multidisciplinaires et multiculturelles ;
  • Etre flexible, avoir une bonne capacité de réflexion et d’écoute, une bonne maîtrise de soi face aux défis de travail avec plusieurs partenaires ;
  • Avoir un sens aigu de responsabilité / éthique professionnelle;
  • Avoir un excellent sens de l’impartialité avec tous les partenaires internationales et nationales ;
  • Etre motivé et savoir motiver les autres ;
  • • Avoir le respect des valeurs/mission COOPI ;

Organisation et coordination du projet:

Chef de projet est sous la responsabilité directe du Chef de Mission/ et au niveau du siège il collabore avec le Réfèrent technique au siège de Milan.

Au niveau de la coordination de la mise en place des activités prévues par les TDR le Chef de projet collabore avec la Chargée des programmes et l’assistant à la coordination pays.

COMPLEMENT/ ATOUTS

  • Précédente expérience avec COOPI et connaissances de ses procédures sera un atout;
  • Expériences de travail dans des pays d’Afrique francophones ou en RCA ;

http://www.coopi.org/en/lavoro/chef-de-projet-3/

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