By continuing to browse this site, you agree to our use of cookies. Read our privacy policy

Termes de référence pour l’évaluation à mi-parcours du projet « Renforcement de la Résilience des Groupements de femmes productrices et des communautés vulnérables aux changements climatiques au Mali » ou « Projet Mali-Femmes»

Bamako

  • Organization: UNDP - United Nations Development Programme
  • Location: Bamako
  • Grade: Consultancy - International Consultant - Internationally recruited Contractors Agreement
  • Occupational Groups:
    • Operations and Administrations
    • Women's Empowerment and Gender Mainstreaming
    • Monitoring and Evaluation
    • Resilience and Climate Change
  • Closing Date: Closed

Background

Conformément aux politiques et procédures de suivi et d’évaluation du PNUD et du FEM, tous les projets de moyenne ou grande envergure soutenus par le PNUD et financés par le FEM doivent faire l’objet d’une évaluation finale à la fin de leur mise en œuvre. Ces termes de référence (TOR) énoncent les attentes d'une évaluation finale (TE) du projet « Renforcement de la Résilience des Groupements de femmes productrices et des communautés vulnérables aux changements climatiques au Mali » ou « Projet Mali-Femmes» PIMS 4919.

Les éléments essentiels du projet à évaluer sont les suivants :  

Résumé du Projet:« Renforcement de la Résilience des Groupements de femmes productrices et des communautés vulnérables aux changements climatiques au Mali » ou « Projet Mali-Femmes» (PIMS 4919)Titre du projet: « Renforcement de la Résilience des Groupements de femmes productrices et des communautés vulnérables aux changements climatiques au Mali » ou « Projet Mali-Femmes» (PIMS 4919)Désignation de projet du FEM : 00082341ID de projet du PNUD : 00091312Pays : MALIRégion : Afrique de l’Ouest   les 3 régions du projet (Kayes, Koulikoro et Sikasso)Domaine focal : Les communes d’interventions du projet (Séro-Diamanou, Bema, Yéréré, Kiban, Boron, Sagabala, Bougoula, Tella, Yorosso, NamposselaObjectifs: Renforcer les moyens d’existence des groupements féminins et des paysans dans dix communes vulnérables des régions de Kayes, Koulikoro, et Sikasso au Mali pour accroître leur résilience face aux impacts des changements climatiques  Agent d’exécution : AEDD/UNDPAutres partenaires participant au projet : Privés, ONG, Collectivités Territoriales, société civile, services déconcentrés de l’étatFinancement du FEM : 5 460 000 USDFinancement de l’agence d’exécution/agence de réalisation : 500 000 USD  en natureGouvernement : 500,000 USD   AEDD et Gouvernement sont les mêmesCofinancement total :  8 000 000 USDCoût total du projet : 5,460,000. USDSignature du DP (Date de début du projet) : Janvier 2015Date de clôture (opérationnelle) proposée : Décembre 2019Date de clôture (opérationnelle)  réelle:

Le Mali est un vaste pays (1.241.248 km2) situé au cœur de l’Afrique de l’Ouest, précisément en zones  sahélienne et saharienne. Le pays compte dix régions, un district, 49 cercles et 703 communes (dont 666 rurales). Le nord du pays compte les régions de Gao, Kidal, Tombouctou, Ménaka et Taoudénit et le sud du pays les régions de Kayes, Koulikoro, Mopti, Ségou, Sikasso, et le district de Bamako.Depuis plus de trois (3) décennies, le Mali est affecté de manière très significative par les phénomènes climatiques qui perturbent les activités économiques. En effet, la majorité de la population dépend fortement de l’exploitation des ressources naturelles, notamment à travers les activités agro-sylvo-pastorales tributaires de la pluviométrie dont les fluctuations sont difficilement prévisibles. La nature aléatoire de la pluviométrie se manifeste par  les tendances à la baisse et la variabilité de la pluviométrie dans l’espace. En outre, les régions du Mali connaissent une augmentation des inondations ainsi qu’un accroissement de l’évaporation et de l’assèchement des zones humides et autres plans d’eau en raison des fortes températures et vents violents. La dégradation des sols et l’érosion hydrique sont permanentes, et les terres arables se réduisent progressivement à cause de la déforestation et de la désertification.

Afin de lutter efficacement et de manière durable contre les impacts des risques climatiques, le Gouvernement du Mali  a élaboré en 2007, le Plan d’Action National d’Adaptation aux changements climatiques  (PANA) qui identifie les priorités nationales en matière d’adaptation et les classes en fonction de la vulnérabilité aux risques climatiques. La mise en œuvre du projet « Renforcement de la Résilience des Groupes de Femmes productrices et des Communautés Vulnérables aux Changements Climatiques au Mali » ou « Projet Mali-Femmes »constitue une réponse aux besoins urgents et immédiats d’adaptation identifiés dans le  PANA  et s’inscrit en droite ligne de la politique Nationale sur les Changements Climatiques (PNCC) visant à accroître la résilience des communautés locales face aux impacts des risques climatiques au Mali.Le projet « Renforcement de la Résilience des Groupes de Femmes productrices et des Communautés Vulnérables aux Changements Climatiques au Mali »  dénommé Projet Mali-Femmes a démarré ses activités en août  2015.

Les zones d’intervention du projet se situent dans dix (10) communes des régions de Kayes (Sero Diamanou, Bema et Yéréré), Koulikoro (Kiban, Boron et Sagabala), et Sikasso (Bougoula-Hameau, Tella, Yorosso et Sincina-Nampossela). Le Projet vise à « Améliorer les capacités d'adaptation des femmes, des groupes de producteurs pour garantir la production de moyens de subsistance à partir des impacts climatiques et accroître la résilience socioéconomique dans les communes vulnérables maliennes (Kayes, Koulikoro et Sikasso) ».

Les résultats attendus du projet  sont :

Résultat 1 : Des systèmes durables de gestion de l'eau résistant au climat fournis aux communautés vulnérables, y compris les agricultrices, qui devraient à leur tour soutenir le développement des activités de subsistance dans les régions de Kayes, Koulikoro et Sikasso.Résultat 2 : Une approche innovante et des technologies durables et résistantes au climat, fournies aux agricultrices et aux producteurs pour améliorer et sécuriser la production de systèmes de subsistance locaux contre les impacts climatiques dans dix communes des régions de Kayes, Koulikoro et Sikasso

Objectif général: 

  • L’étude d’évaluation à mi-parcours a pour objectif de fournir aux parties prenantes et partenaires du Projet, i.e. l’Unité de Gestion du Projet (UGP) le PNUD, le Ministère de l’Assainissement, de l’Environnement et du Développement Durable (MAEDD),  l’Agence de l’Environnement et du Développement Durable (AEDD), les autorités communales, régionales et locales, les populations bénéficiaires et les autres partenaires des informations d’appréciation des réalisations du projet, de l’état d’avancement du projet à ce jour, de tirer des enseignements, de capitaliser les bonnes pratiques ainsi que de formuler des recommandations pour l’orientation à prendre pour l’atteinte des résultats attendus et la consolidation et la pérennisation des acquis du projet.

Objectifs spécifiques :

  • Evaluer l’ensemble des progrès (ou le manque de progrès) par rapport aux indicateurs définis dans le document de projet et détecter les signes préliminaires de succès ou d’échec ;
  • apprécier la pertinence des actions et les progrès sur la voie de réalisation des résultats depuis le démarrage du projet en 2015 ;
  • examiner la gestion du projet en vue d’assurer son alignement avec l’atteinte des ‘résultats ou ‘effets directs’ (outcomes) ainsi que l’exécution des activités ;
  • Evaluer le degré de satisfaction des diverses parties prenantes du projet et bénéficiaires selon les résultats atteints à la date de l’évaluation ;
  • Evaluer la maîtrise d’ouvrage locale des investissements réalisés à date ;
  • Evaluer l’approche visant l’égalité entre les sexes (approche genre);
  • Identifier les types d’investissements réalisés par commune pour appuyer la production ou les activités génératrices de revenus;
  • Evaluer la pérennité des activités réalisées;
  • Evaluer la pertinence actuelle des suppositions critiques du document de projet;
  • Tirer les leçons initiales sur la conception du projet, l’exécution ainsi que la gestion;
  • Formuler des recommandations en vue d’accélérer la mise en œuvre du projet et maximiser l’atteinte des résultats envisagés d’ici 2019.  

Duties and Responsibilities

Méthodologie:  Le consultant international détaillera dans le rapport initial l’approche méthodologique qui sera suivie pour la réalisation de la mission. Toutefois, le déroulement de la mission devrait comporter les étapes ci-après :  Consultation de la bibliographie existante :

  • Exploitation de toute la documentation produite dans le cadre de la mise en œuvre du projet;
  • Au cours de cette phase, la mission procédera à une revue documentaire qui consistera entre autres, à collecter les informations disponibles sur les approches, outils, et mécanismes de planification, de mise en œuvre et de suivi du projet ainsi que la documentation générée à l’occasion de l’exécution du projet;
  • A cet effet une liste de documents obligatoires à considérer par la mission sera fournie à la mission. Sur cette base la mission fournira une note méthodologique.

Les documents suivants seront mis à la disposition de la mission :

  • Copie du Document de projet signé ;
  • Copie des Plans de travail et budgets annuels ;
  • Copie des Rapports mensuels, trimestriels  et annuels ;
  • Copie des Procès-verbaux de réunion du Comité de Pilotage ;
  • Copie de rapports d’Audit du projet ;
  • Copie de rapports de mission ;
  • Copie du cadre de suivi-évaluation du Projet,
  • Copie des tracking tools complétés.

Approche participative :

  • Il s’agit de l’organisation des réunions de travail avec les principaux acteurs et bénéficiaires sur les résultats du projet;
  • Dans ce cadre, le consultant rencontrera les partenaires nationaux et régionaux/locaux ainsi que les principaux partenaires techniques et financiers et les programmes et projets intervenant dans le même domaine.

Il s’agit des rencontres suivantes :

  • Briefing de pré-mission au Niveau national : Entretien avec les parties prenantes  
  • Afin d’assurer l’alignement de la compréhension des membres de l’équipe concernant l’intention du projet, la portée de l’évaluation requise, la nature et le contenu de l’évaluation ainsi que l’analyse ou le plan de travail proposé par l’équipe d’évaluation :
  • Bureau du PNUD ;
  • MAEDD ;
  • AEDD ;
  • Comité National chargé du pilotage du projet (le CNP) ;
  • UGP.
  • Dans la zone d’intervention du projet
  • Aux niveaux régional et Cercles
  • Entretien avec Autorités administratives : Gouverneurs, Préfets de Cercles ;
  • Entretien avec les Collectivités Territoriales (Région et Cercles);
  • Entretien avec les services déconcentrés de l’état.
  • Au niveau communal
  • Entretiens avec les autorités communales au niveau local (Sous-Préfet et Maires) ;
  • Entretiens avec les services déconcentrés de l’état ;
  • Entretiens et Focus Group avec les communautés locales et les représentants des populations ; vulnérables: Conseil villageois, Groupements (OSP et OCB) notamment de femmes et de jeunes ;
  • Entretiens avec le secteur privé impliqué dans la construction et l’entretien des infrastructures et ouvrages réalisés ou en cours de réalisation: périmètres irrigués, banques de céréales, micro barrages, aménagements mares etc;
  • Appréciation des projets d’infrastructures physiques réalisés ou en cours de réalisation.

Au niveau national:

  • Entretiens supplémentaires si nécessaire ;
  • Débriefing avec le PNUD ;
  • Débriefing à l’AEDD et MEADD;
  • Restitution nationale organisée par le chargé de programme PNUD avec le Directeur Général de l’AEDD:
  • Atelier au niveau national avec toutes les parties prenantes afin de présenter et valider les enseignements et recommandations provisoires du sommaire exécutif (aide-mémoire et une présentation PowerPoint);
  • Remise du contenu provisoire;
  • Achèvement du rapport final et sommaire exécutif incorporant les observations des parties prenantes lors du débriefing national;
  • Le rapport final devra également contenir une matrice des enseignements et recommandations clés;
  • Critères de l’évaluation;  
  • Une évaluation de la performance du projet, basée sur les attentes énoncées dans le cadre logique/cadre de résultats du projet qui offre des indicateurs de performance et d’impact dans le cadre de la mise en œuvre du projet ainsi que les moyens de vérification correspondants, sera réalisée;
  • L’évaluation portera au moins sur les critères de pertinence, efficacité, efficience et durabilité. Des notations doivent être fournies par rapport aux critères de performance suivants.

L’évaluation devra analyser les points suivants :

  • Evaluation des performances du projet;
  • Les préoccupations majeures auxquelles il faudra répondre sont :
  • Quelle est la performance du projet en termes d’atteinte des résultats escomptés en référence aux indicateurs et cibles du cadre de ressources et résultats et de réalisation des activités prévues ?
  • En rapport avec les ressources mises à disposition et les activités effectives menées, quels sont les signes et preuves que le projet a atteint ou pourra atteindre ses objectifs et aura ainsi contribué à l’objectif de consolidation du développement local;
  • Quel est le degré de satisfaction des diverses parties prenantes vis-à-vis du projet et des résultats atteints.

Pertinence du projet relativement aux :

  • Objectifs et la stratégie du projet par rapport aux priorités nationales et au mandat et priorités du PNUD ;
  • Aux besoins exprimés par les communautés locales ;
  • Ressources affectées et aux partenariats ;
  • Acteurs et parties prenantes du projet ;
  • Zones d’interventions, groupes cibles ;
  • Mécanismes et modalités d’intervention et de suivi et d'évaluation.
  • Efficacité à travers une analyse de :
  • La quantité et la qualité des activités réalisées et des résultats atteints par le projet en rapport avec la programmation ;
  • La répartition et l’utilisation des ressources ;
  • Les mécanismes de mise en œuvre et de suivi-évaluation et le rôle des différents acteurs ;
  • La contribution du projet à la réalisation des priorités du gouvernement appuyées par le PNUD ;
  • Les partenariats développés.
  • Efficience, l’évaluation s’intéressera, par rapport aux produits (extrants) réalisés et aux résultats atteints (Effets), à :
  • l’utilisation des ressources du projet (adéquation des moyens et activités aux résultats à atteindre, bon usage des ressources, capacités d’exécution, etc.) ;
  • Les partenariats mis en place, en lien avec les autres intervenants du domaine;
  • Durabilité des résultats et de leurs impacts en termes de renforcement des capacités des bénéficiaires et des partenaires nationaux et en termes de développement humain durable;
  • La mission devra formuler des propositions de capitalisation des acquis et d’amélioration pour la poursuite des activités dans le cadre d’une extension du présent projet ou d’’un nouveau projet en termes de stratégies et de dispositif  organisationnel de mise en œuvre et de suivi du projet, de moyens matériels, humains et financiers nécessaires à sa mise en œuvre y compris les modalités d’exécution.
  • Au terme de cette évaluation, les partenaires devront disposer d’éléments pertinents pour la prise de décision. L’évaluation à cet effet, devra fournir une information d’analyse sur :
  • L’état de la mise en œuvre du projet et des progrès réalisés par rapport aux différents objectifs retenus ;
  • Les facteurs ayant influencé positivement ou négativement à tous les niveaux l’atteinte des objectifs du projet.
  • Le degré d’atteinte des objectifs ;
  • Les Forces, Faiblesses, Opportunités et Risques du projet ;
  • Les stratégies de partenariat développées et leur efficience ou non pour l’atteinte des objectifs ;
  • La définition d’orientations claires, de suggestions ou de recommandations pertinentes (en termes d’objectifs à atteindre, d’actions à entreprendre, de partenariat à développer, etc.);
  • L’identification et la documentation des enseignements qui en résultent en termes de bonnes ou de mauvaises pratiques ;
  • L’opportunité et les modalités d’extension du programme existant, ainsi que les conditions de sa mise en œuvre efficiente.
  • Produits attendus  

La mission devra produire les rapports suivants :

  • Un Rapport initial d’évaluation détaillant la méthodologie de l’évaluation incluant la collecte de données et autres outils et méthodes qui seront utilisés dans le cadre de l’évaluation. Il comportera le chronogramme détaillé;
  • Le rapport initial offre, entre autres, une opportunité de vérifier que les consultants partagent la même compréhension de l’évaluation que le commanditaire.

Un Rapport  provisoire de l’évaluation :

  • Un rapport provisoire sera soumis au commanditaire et comprendra  les conclusions préliminaires ainsi que des recommandations après  les rencontres et entretiens avec les acteurs concernés, les partenaires techniques et financiers et les personnes ressources;
  • Les commentaires et autres amendements consolidés seront transmis par le PNUD à l’équipe en charge de l’évaluation.
  • Un Rapport final d’évaluation : Après l’atelier de validation, et intégration des commentaires, la version finale du rapport, en format électronique et en quatre (4) copies hard sera transmise au commanditaire (PNUD) avec les différentes recommandations établies selon l’ordre de priorité et Une indication sur leur éventuelle mise en œuvre dans le cadre de projet similaire;
  • Il comportera obligatoirement un résumé, une analyse des conclusions et des recommandations ainsi qu’une section sur la méthodologie et en annexes, les termes de référence de l’évaluation, la liste des personnes et structures rencontrées ainsi que les références bibliographiques.
  • L’équipe de consultants devra faire une présentation Power Point en français résumant les principaux constats et recommandations issus du rapport d’évaluation pour la réunion de restitution avec le senior management et le Gouvernement.

Structure du rapport:  Le rapport de mission devra aborder l’ensemble des points énumérés dans les termes de référence et doit être présenté selon une structure qui met en exergue, sans être limité, les éléments suivants :

  • Titre;
  • Nom de l’évaluation;
  • Calendrier de l’évaluation et date du rapport;
  • Pays de l’intervention d’évaluation;
  • Nom du consultant;
  • Nom de l’organisation initiant l’évaluation;
  • Remerciements;
  • Table des matières;
  • Inclure les encadrés, schémas, tableaux et annexes avec les références des pages;
  • Liste des acronymes et abréviations;
  • Résumé analytique (une section indépendante de 3-4 pages y compris les principales conclusions et recommandations);
  • Introduction.

Description de l’intervention:

  • Etendue de l’évaluation et objectifs;
  • Approche et méthodes d’évaluation;
  • Analyse des données;
  • Déductions et conclusions;
  • Résultats et conclusions globaux (y compris des réponses aux questions principales d’évaluation);
  • Recommandations;
  • Recommandations globales (y compris les recommandations produites pour répondre aux questions principales d’évaluation);
  • Enseignement tirés;
  • Sous-section spécifique y compris sur le genre;
  • Annexes du rapport;
  • TDR pour l’évaluation;
  • Matrice de conception d’évaluation;
  • Code de conduite signé par l’évaluateur;
  • Liste des personnes ou groupes interviewés ou consultés et des sites visités;
  • Liste des documents d’aide révisés;
  • Cadre des résultats du programme;
  • Tableaux de résumé des déductions.

Competencies

Compétences:

  • Compétences liées au système des Nations Unies;
  • Démontre son intégrité pour le respect des valeurs et de l’éthique des Nations Unies;
  • Promeut la vision, la mission et les buts stratégiques des Nations Unies;
  • Respecte les différences culturelles, de genre, de religion, d’âge et de nationalité.

Compétences liées au contrat:

  • Capacité avérée à appliquer les bonnes pratiques et à prodiguer des conseils analytiques;
  • Production des résultats dans les délais impartis.
  • Excellentes capacités de communication démontrées aussi bien à l’oral qu’à l’écrit, notamment en ce qui concerne la rédaction de rapport en français et l’animation d’ateliers

Required Skills and Experience

Profils des consultants:La mission d’évaluation finale sera composée d’une équipe de deux (02) experts (1 international et 1 national) selon le profil respectif décrit ci-dessous :

Diplome:

  • Un consultant international, chef de mission, ayant un Diplôme de troisième cycle ou équivalent dans le domaine des sciences de l’environnement, du développement rural, l’adaptation et résilience.

Expérience :

  • (10) ans en évaluation des programmes et projets axés sur les résultats (Approche Gestion Axée sur les Résultats/GAR). L’évaluation de projets similaires serait un atout ;
  • Disposer d’une expérience en matière d’évaluation de la prise en compte de l’approche genre dans la mise en œuvre de projets;
  • Disposer d’une connaissance approfondie des procédures du PNUD en matière de gestion et d’évaluation des projets et d’une expérience de travail avec les agences du SNU et du FEM ;
  • Disposer d’excellentes capacités de communication orale et écrite en français qui est la langue de travail et d’un niveau fonctionnel en anglais ;
  • Avoir une expérience de travail en Afrique constituerait un atout. Une bonne connaissance du contexte du Mali et des régions d’intervention du Projet est un atout
  • Le chef de mission aura la responsabilité de l’organisation de la mission, le développement d’un plan d’évaluation et la démarche méthodologique ainsi que  la répartition des rôles et responsabilités au sein de l’équipe et de la gestion de l’équipe. Il/elle sera en outre responsable de la rédaction et la finalisation du rapport d’évaluation provisoire et du rapport final. Il/elle pourra demander une contribution écrite aux autres membres de l’équipe. Il/elle sera aussi responsable pour la restitution des conclusions d’évaluation et les recommandations aux parties prenantes à la fin de la mission sur place, y compris la production d’une présentation Powerpoint en amont du débriefing sur place.

Langue:

  • Maitrise du Français;
  • Connaissance de l'anglais.
UNDP is committed to achieving workforce diversity in terms of gender, nationality and culture. Individuals from minority groups, indigenous groups and persons with disabilities are equally encouraged to apply. All applications will be treated with the strictest confidence.
This vacancy is now closed.
However, we have found similar vacancies for you: