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EQUIPE DE CONSULTANT(E)S NATIONAUX (SENIOR ET JUNIOR) POUR REALISER UNE ANALYSE RETROSPECTIVE DES DOCUMENTS DE POLITIQUES SOCIALES EN RCA (SSA-INSTITUTIONNEL)

Bangui

  • Organization: UNICEF - United Nations Children’s Fund
  • Location: Bangui
  • Grade: Mid level - P-4, International Professional - Internationally recruited position
  • Occupational Groups:
    • Monitoring and Evaluation
  • Closing Date: Closed

Si vous êtes engagé, professionnel créatif et êtes passionné de faire une différence durable pour les enfants, l'organisation leader dans le monde pour le droit des enfants aimerait vous entendre. Depuis 70 ans, l'UNICEF travaille sur le terrain dans 190 pays et territoires pour favoriser la survie, la protection et le développement des enfants. Premier fournisseur mondial de vaccins pour les pays en développement, l'UNICEF soutient la santé infantile et la nutrition, l'eau potable et l’assainissement, l'éducation de base de qualité pour tous les garçons et les filles, et la protection des enfants contre la violence, l'exploitation et le sida. L'UNICEF est entièrement financé par des contributions volontaires de particuliers, d'entreprises, de fondations et de gouvernements .

Si vous êtes engagé, professionnel créatif et êtes passionné de faire une différence durable pour les enfants, l'organisation leader dans le monde pour le droit des enfants aimerait vous entendre.
Depuis 70 ans, l'UNICEF travaille sur le terrain dans 190 pays et territoires pour favoriser la survie, la protection et le développement des enfants. Premier fournisseur mondial de vaccins pour les pays en développement, l'UNICEF soutient la santé infantile et la nutrition, l'eau potable et l’assainissement, l'éducation de base de qualité pour tous les garçons et les filles, et la protection des enfants contre la violence, l'exploitation et le sida. L'UNICEF est entièrement financé par des contributions volontaires de particuliers, d'entreprises, de fondations et de gouvernements . 

  1. Justification :

 Faisant suite  à la finalisation du RCPCA, le Gouvernement a présenté en Novembre 2016 le RCPCA au cours de la table ronde de Bruxelles pour mobiliser les ressources en vue de son financement. Les annonces d’engagements qui ont atteint les 2.5 milliards de dollars des Etats Unis d’Amérique montrent l’adhésion de la communauté internationale à cette vision. Il est prévu sur l’agenda du gouvernement que le RCPCA soit décliné en stratégies sectorielles approfondies et en plans locaux de développement. Cet agenda est une opportunité unique pour (ré) placer les droits des enfants au cœur des politiques sectorielles. La question de la mise en cohérence des stratégies sectorielles avec ce Plan revêt en outre une importance particulière puisqu’elle permet de voir si les départements sectoriels dans l’élaboration de leurs stratégies sectorielles se sont fondés sur les objectifs et  actions prioritaires contenus dans le RCPCA.  Il en va de même pour les plans locaux de développement.

La revue partielle du processus de gestion du développement national par la Direction des Politiques Economiques et Stratégies de Développement (DPESD) a permis de constater entre autres, le manque de documents de stratégies sectorielles ou thématiques pour un bon nombre de départements sectoriels, d’une part, et le manque de cohérence et d’arrimage desdites stratégies pour ceux qui en disposent  avec le RCPCA et les initiatives sous régionales, régionales et internationales. Cependant cet exercice n’est pas allez au-delà du constat pour faire des recommandations de démarche d’élaboration de politiques aux regards des insuffisances constatées pas plus que l’inclusion de groupes spécifiques comme les enfants et les femmes dans une perspective de droits humains.

C’est pour cette raison et pour tirer les leçons de l’élaboration et de la mise en œuvre  des politiques récentes que cette étude représente une opportunité non seulement pour son caractère exhaustifs au regard des champs couverts mais aussi de l’étendue des analyses qui seront faites dans la perspective du récent cadre d’analyse conjoint , élaboré conjointement par l’UNICEF et l’Union Européenne sur l’intégration des droits des enfants dans la coopération au développement qui fait l’objet spécifique d’une trousse a outils.

D’autre part, dans la perspective du lancement national de cette trousse a outils sur l’intégration des droits des enfants dans la coopération internationale prévu concomitamment avec la journée des droits de l’enfants (20 Novembre 2017), les résultats des analyses des politiques sociales vont alimenter les études de cas spécifiques au contexte de la RCA dans les groupes de travail qui seront en place à cet effet. C’est d’ailleurs de cette trousse à outils que la méthodologie de cette étude s’inspire en grande partie.

  1. Méthodologie et Approche Technique :

Dans le cadre de la présente activité, le choix d’une approche rétrospective (l’examen systématique et systémique des politiques qui ont déjà fait l’objet de mise en œuvre ) a été délibérément préféré pour plusieurs raisons dont la plus évidente est le fait que le pays a un calendrier très resserré pour traduire le RCPCA au niveau sectoriel et local. Cet impératif ne pouvait donc pas s’accommoder du temps que nécessiterait une approche prospective stricto-sensu (étude des impacts potentiels des politiques avant même qu’elle ne soient mises en œuvre et exploration des alternatives possibles en évaluant leur coût économique et social).

Le champ de l’étude se limitera donc à l’examen d’un échantillon de politiques passées ou en cours. Celle-ci prendra en compte la conception et la mise en œuvre  des politiques d’une part et d’autre part les causes et les conséquences et de leur performance potentielle ou réelle.

Dans un premier temps il s’agira de faire une analyse critique sous la forme d’une cartographie sectorielle documentaire commentée de l’ensemble des documents de politiques qui ont déjà fait l’objet de collecte dans les différents départements ministériels. Sur la base de cette première analyse, les départements ministériels ne disposant pas ou peu de documents d’orientation stratégique seront connus et les fondements de cette situation seront mis en lumière en terme qualitatif et quantitatif.

De commun accord avec l’équipe technique de supervision, un échantillon raisonnable de documents de politiques sera choisi de manière à couvrir l’ensemble des secteurs pertinents pour les composantes sectorielles du programme de coopération RCA-UNICEF (Santé, Nutrition, VIH, Education, Protection de l’enfant, Eau Hygiène et Assainissement, Politiques sociales, suivi-Evaluation).

Une analyse de ces documents sera ensuite menée à trois niveaux : (1) Utiliser des procédés pour faire analyse scientifique des documents de stratégies sectorielles existantes à l’aide d’outils d’analyse et d’évaluation des stratégies (grille d’analyse documentaire des stratégies, Matrice Forces, Faibles, Opportunités et Menaces (FFOM), matrice des résultats etc. ; (2)  Apprécier le contenu des orientations stratégiques des documents notamment la pertinence des axes et des objectifs stratégiques  par rapport aux piliers du RCPCA et au contexte politico-économique, la cohérence des actions retenues par rapport aux objectifs stratégiques ainsi que le degré de priorisation des actions, la qualité des mesures proposées ; (3)  Vérifier la cohérence interne des documents de stratégies sectorielles et leur harmonie avec les documents de référence nationales et internationales (ODD, PER CEMAC, Agenda 2061, NEPAD, etc.) proposer des orientations pertinentes pour l’amélioration des documents de stratégie sectorielle analysés ; et vi) appuyer les départements  qui n’ont pas encore élaborer leurs documents sectoriels dans un délai raisonnable.

Dans une seconde phase il s’agira de questionner certaines dimensions dont la prise en compte est suffisamment document dans la littérature comme contribuant aux succès des politiques. Un intérêt particulier  sera accordé aux points suivants :

L’analyse du contexte qui a prévalu lors de l’élaboration de la politique : Cela comprend la mesure dans laquelle, les documents font référence systématiquement et de façon explicite à des engagements internationaux comme la CDE, la CEDEF et d’autres engagements régionaux. L’orientation des politiques sur les résultats et les conséquences liés notamment à la réalisation des droits de l’enfant sont un autre point d’intérêt. On examinera également sous ce chapitre  la mesure dans laquelle les objectifs et les plans vont au-delà de la prestation de services et considèrent les enfants ou les groupes cibles auxquels ils s’adressent comme des détenteurs de droits et non les objets d’une politique sociale. Les stratégies sectorielles qui déclinent la politique nationale devront être appréciées pour juger de la cohérence. 

L’implication des parties prenantes cherchera à démontrer s’il existe à toutes les phases de développement de l’agenda national des politiques ; un processus élargi d’engagement des parties prenantes, qui soit largement conceptualisé et adéquatement financé et qui tienne compte de l’avis des enfants, selon leur âge et leurs capacités et des autres groupes cibles auxquels ces politiques s’adressent. Il s’agira également de savoir si les citoyens disposent d’autres possibilités notables pour apporter leur contribution à l’application des politiques, notamment en relation avec les droits de l’enfant et la participation des enfants et d’autres groupes cibles. Finalement l’analyse de la participation devrait éclairer sur la consultation des parties prenantes dans le processus d’élaboration des politiques et de comprendre si ces parties avaient les capacités définir des critères de réussite pour influer sur l’élaboration des politiques

L’analyse des ressources adéquates pour soutenir la pérennité cherchera à capter essentiellement si les ressources sont suffisantes et employées à bon escient pour financer l’exécution des engagements en faveur des droits de l’enfant et des groupes cibles vises ; si d’autres ministères techniques sont impliqués dans le processus de planification en dehors du ministère en charge des finances ; s’il existe des « points de rupture » à surveiller entre les objectifs, les plans, les budgets et la mise en œuvre pour s’assurer que les priorités relatives aux droits de l’enfant et des autres groupes cibles par les politiques soient pleinement budgétisées et mises en œuvre.

L’examen du cadre de suivi prendra en compte (i) l’existence des systèmes d’information exhaustifs  qui incluent la collecte de données suffisantes (et correctement ventilées notamment selon les sexes) et l’élaboration de rapports périodiques de qualité ; (ii) l’existence de cadres de gestion budgétaire plus souples qui reflètent mieux la planification et sont capables de réaffecter les ressources aux priorités définies dans le plan national à long terme comme préconisées dans les perspectives budgétaires pluriannuelles (iii) La définition d’indicateurs de de suivi et d’évaluation (S&E) pour suivre les droits des enfants et des autres groupes cibles pour prévenir tout dérapage lors de la mise en œuvre et enfin (iv) si les  résultats ont été publiés pour connaître les avis et par souci de transparence ?

Les évaluations comme bonne pratique redditionnelle seront prise en compte dans l’étude pour voir dans quelle mesure elles servent pour la formulation d’autres politiques et comment les différents protagonistes utilisent les résultats des évaluations (bons ou mauvais, attendus ou pas) pour informer les groupes cibles dans un souci de transparence et pour servir de base de prise de décisions.

La coordination qui est nécessaire entre les différentes parties prenantes du fait des problématiques parfois multisectorielles doit également être analysée. Il s’agit de comprendre (i) s’il existe une communication et une coordination horizontale entre différentes catégories de protagonistes ; (ii) si des structures existent pour veiller à l’application des engagements pris et jusqu’à quel point ces structures ont fait montre d’efficacité ; (iii) S’il existe une fenêtre d’opportunité qui favorise la participation des autorités déconcentrées et enfin (iv) s’il existe des processus permettant d’identifier les problèmes et d’envisager des solutions alternatives  et comment ces actions font l’objet d’un suivi  et quels sont le(s) ministère(s) et les institutions responsables ? Quel mécanisme de coordination est-il mis en place entre les institutions pour l’élaboration et l’application des politiques ?

Comme il est fort probable qu’un nombre limité de politiques/plan et programmes aient fait l’objet de mise en œuvre effective en raison du contexte  d’instabilité du pays, les éléments énumérés ci-dessus seront complétées  par l’examen plus approfondi de la mise en œuvre de quelques politiques touchant notamment les enfants. Cette analyse visera à répondre essentiellement (sans s’y limiter) aux questions suivantes : 

Comment les fonds ont-ils été dépensés et qui en sont les principaux bénéficiaires ? Comment les groupes cibles sont-ils affectés par l’allocation des ressources financières? L’allocation budgétaire répond-elle aux besoins et intérêts pratiques et stratégiques des groupes considérés comme prioritaires dans l’analyse du contexte qui a sous-tendu l’élaboration de la politique?

Quels sont les résultats ? Par exemple quels sont les groupes qui tirent parti des résultats. Pour répondre à cette question, si elles existent,  l’examen de données ventilées sur les groupes classés par âge, sexe, origine ethnique, handicap, revenu du ménage et milieu de résidence, pourrait s’avérer déterminant.

Les activités mises en œuvre ont-elles traité les causes sous-jacentes d’inégalité et de discrimination ?

Quelle est la qualité du processus ? Implique-t-il les différents groupes cibles et quelle est la qualité de leur participation ? Soutient-il le renforcement des capacités des ayant-droits ou d’autres parties prenantes impliquées dans la promotion des droits?

Quelle est la réaction préliminaire des hommes/garçons et des femmes/filles vis-à-vis des interventions?

Les enfants (filles et garçons) ont-ils une réaction inattendue ou négative aux activités? Est-il nécessaire de prendre des mesures correctives pour promouvoir les questions relatives à la réalisation des droits de l’enfant ?

Les interventions ont-elles offert la possibilité de promouvoir une meilleure coordination et communication entre les groupes de travail du secteur pour la réalisation des groupes cibles?

Des mesures correctives ont-elles été mises en place aussi bien pour renforcer les engagements sur les politiques que pour éviter toute dilution des engagements au cours de la phase de mise en œuvre?

Cette deux approches complémentaires devraient aboutir à la proposition de principes et d’outils pertinents pour le contexte de la RCA qui devraient permettre d’intégrer les droits des enfants et d’autres groupes spécifiques dans les politiques sectorielles et aider à la mise en cohérence desdites politiques avec le RCPCA pour ceux qui existent déjà ou d’informer le processus d’élaboration pour les secteurs qui envisagent de le faire

  1. Tâches, Résultats Attendus et Délais :

Activités/tâches

Résultats attendus/livrables

Délais/Time-frame

Préparer une cartographie sectorielle commenté des documents de politiques au regard de l’inventaire exhaustif desdits documents qui seront remis aux consultants.  

Une cartographie sectorielle des documents de politiques qui décrit les documents pas ou insuffisamment couverts ainsi le mobile rationnel de cet état de fait.

15 jours après la signature du contrat

 

Préparer un rapport initial basé sur la revue documentaire des documents de politiques qui seront mis à la disposition des consultants

Un rapport initial qui décrit clairement le plan de travail, le rappel des  objectifs, de la portée et des résultats sur lesquels les deux parties se sont attendues pour  l’étude, ainsi que les outils à utiliser pour collecter les données nécessaires à l’analyse.

15 jours après la cartographie

 

Préparer un projet de rapport basé sur les missions sur le terrain, les interviews avec les acteurs nationaux y inclus les partenaires gouvernementaux, les partenaires techniques et financiers, la société civile et des groupes cibles

Un projet de rapport final dont l’ossature comprend : (i) L’analyse du contexte, (ii) les objectifs de l'étude, la méthodologie détaillée utilisée, (iii) les principales constatations et résultats, (v) les bonnes pratiques et les leçons apprises (vi) les recommandations applicables pour les politiques globales et sectorielles

 

 

30 jours après validation du rapport initial

 

 

Un résumé exécutif qui suit le format standard de l'UNICEF doit être préparé;

 

Préparer le rapport final basé sur les observations et commentaires de l’UNICEF et du Gouvernement

Un rapport final y compris un document de recommandations n’excédant pas 12 pages

 

15 jours après la transmission du premier projet de rapport 

 

Les transcriptions électroniques (Verbatim et données brutes) des interviews

Préparer 2 présentations PPTx pour la dissémination des principales conclusions de l’étude

Deux présentations PowerPoint pour le public interne et externe avec les principales conclusions de l’étude.

 

  1. Lignes de supervision:

Les consultants travailleront sous la supervision technique du Spécialiste de Suivi-Evaluation.

  1. Qualifications et Connaissances :

L’équipe de consultant(e)s devra impérativement comprendre un/e consultant/e national/e (senior) et un/e consultant/e national (junior). Les qualifications minimales attendues sont les suivantes :

Consultant national Senior

 Le/La consultant/e national/e (senior) devra avoir des connaissances solides en sciences sociales ayant un lien avec le champ de l’étude. Il/elle justifiera en outre d’une expérience importante de formulation et d’analyse de politiques sociales  principalement en Afrique, la RCA étant un atout. Il/elle doit avoir un diplôme en sciences sociales ou toute autre discipline connexe (Sciences politiques, Administration publique etc.) d’un niveau d’au moins Bac+5 et justifier de 10 années d’expérience.

 La familiarité avec la programmation basée sur les droits humains et la gestion axée sur les résultats seront considérées comme des préalables.

Consultant national Junior

En plus de sa connaissance avérée de la RCA et compte tenu de la diversité des champs couverts le/la consultant/e national/e Junior vient compléter la multidisciplinarité de l’équipe.  Il/elle devra donc être choisi/e de sorte à ce que les champs d’expertise cumulée avec le/la consultant/e nationale Senior permette de couvrir les domaines d’études (Education, Sante, WASH, protection de l’enfant).

Plus spécifiquement, le consultant national  Junior doit justifier d’un diplôme de sciences sociales et avoir au moins 5 années d’expérience à son actif.

  1. Coût de la consultance:

En plus de sa proposition technique, l’équipe de consultant/es devra soumettre une proposition financière qui spécifique pour chacune des lignes budgétaires les couts unitaires. La proposition financière devra comprendre : (i) Les Honoraires ; (ii) Les frais de transports intérieurs (Bangui).

L’UNICEF se réserve le droit de ne pas excéder la limite du budget disponible pour la conduite de cette activité.

Concernant plus spécifiquement les honoraires ils sont indexés aux livrables comme suit sous réserve qu’ils soient jugés de qualité satisfaisante :

  • Remise de l’analyse de la cartographie des politiques           à 20%
  • Remise du rapport initial                          à 25%
  • Remise du premier projet de rapport     à 30%
  • Remise du rapport final                            à 25%
  1. Conditions de Travail :

Les consultant/es travailleront avec leurs propres moyens techniques (Ordinateurs et logiciels usuels). Une partie de la consultation se fera à distance et une partie en RCA. A cette occasion, l’UNICEF mettra à la disposition du/de la constant/e un bureau et les facilites de déplacements pour mener à bien la mission.

  1. Instruction spécifique /informations complémentaires (si nécessaire):

Les consultant/es devront en outre justifier d’une attestation d’assurance maladie en cours de validité et d’une attestation de bonne santé produite par un médecin assermenté.

  1. Date souhaitée de début de la consultance: 20 Août  2017
  2. Date de fin de la consultance : 20 Novembre 2017

 

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Please indicate your ability, availability and daily/monthly rate (in US$) to undertake the terms of reference above (including travel and daily subsistence allowance, if applicable).  Applications submitted without a daily/monthly rate will not be considered.

UNICEF is committed to diversity and inclusion within its workforce, and encourages qualified female and male candidates from all national, religious and ethnic backgrounds, including persons living with disabilities, to apply to become a part of our organisation.

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