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Consultant National pour l'évaluation a mi parcours du Programme d'appui à l'adaptation aux cahngements climatiques dans les communes les plus vulnerables des régions de Mopti et de Tombouctou

Bamako

  • Organization: UNDP - United Nations Development Programme
  • Location: Bamako
  • Grade: Consultancy - International Consultant - Internationally recruited Contractors Agreement
  • Occupational Groups:
    • Environment
    • Monitoring and Evaluation
    • Climate Change
    • Project and Programme Management
  • Closing Date: Closed

Background

Conformément aux politiques et procédures de suivi et d’évaluation du PNUD et du FEM, tous les projets de moyenne ou grande envergure soutenus par le PNUD et financés par le FEM doivent faire l’objet d’une évaluation à mi-parcours, processus devant être entamé avant la présentation du deuxième rapport de mise en œuvre de projets (PIR). Ces termes de référence (TOR) énoncent les éléments à prendre en compte dans le cadre de l’examen à mi-parcours du « Programme d’Appui aux Changements Climatiques dans les Communes les plus Vulnérables des Régions de Mopti et de Tombouctou (PACV-MT)».

Description du projet:

Le Programme d’Appui aux Changements Climatiques dans les Communes les plus Vulnérables des Régions de Mopti et de Tombouctou (PACV-MT) est financé par le Fonds d’Adaptation de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) à hauteur 8 333 348 USD de dollars en espèces, avec un cofinancement en nature (loyer) du Gouvernement du Mali de 500 000 dollars et un cofinancement en espèce du Programme des Nations Unies pour le Développement de 500 000 dollars . D’une durée de 3 ans (2015-2018), le coût total du PACV-MT s’élève à 9 533 348 USD. Le financement est ciblé sur 20 communes les plus vulnérables des  régions de Mopti et de Tombouctou. Il est aussi  thématique puis qu’il est destiné à financer des initiatives locales en matière de stratégies locales d’adaptation et de résilience des populations face aux effets des variabilités et changements climatiques.

Il est important de signaler que sur ces 20 communes, neuf (09) se situent dans la région de Mopti avec une population totale de 129 595 habitants et 11 communes dans la région de Tombouctou avec une population totale de 84163 habitants (RGPH 2009). Il est aussi à noter que ces communes sont souvent très distantes les unes des autres. La liste des communes cibles est ci-dessous :

Région de Mopti :Cercle de Koro : commune de Bamba;Cercle de Bandiagara : communes de Pelou et Kendé;Cercle de Douentza : communes de Tédié, Koubewel-koundia, Gandamia et Dangol-Boré;Cercle de Tenenkou : communes de Togoro-Kotia;Cercle de Djenné : commune de Pondori .Région de Tombouctou :Cercle de Tombouctou : commune d’Alafia;Cercle de Gourma-Rharous : communes de  Hanzakoma et Haribomo;Cercle de Goundam : communes de Goundam, Essakane, Bintagoungou et Gargando;Cercle de Diré : communes de Kondi, Arham, Tindirma et Binga;Le programme est mis en œuvre à travers la Modalité d’exécution nationale du PNUD. La tutelle est assurée par le Ministère de l'Environnement, de l'Assainissement et du Développement Durable (MEADD) à travers l'Agence de l'Environnement et du Développement Durable (AEDD) agissant comme l'Agence Nationale d'Exécution désignée « partenaire d’exécution » du programme.

Il a été officiellement lancé le 4 mars 2016 par le Ministre de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement Durable en vue d’un démarrage effectif des activités au niveau des 20 communes cibles des deux régions concernées.Contexte:

  • Conformément au Plan National de Développement du Mali, et le Programme National d'Adaptation (NAPA, 2007), et la Politique/Stratégie Nationale et Plan d’Action sur les changements climatiques, récemment développés (Gouvernement du Mali, 2011), le programme proposé est conforme aux priorités nationales énoncées par le Gouvernement. Il est aussi en cohérence avec l’UNDAF et le document de programme pays (CPD).

Effet UNDAF/CPD:

  • Les populations vulnérables, particulièrement les femmes et les jeunes, bénéficient de capacités productives dans un environnement (naturel) sain favorable à la réduction de la pauvreté.

Effet du plan stratégique 20142017:

  • (1) La croissance et le développement sont inclusifs et durables, générant les capacités de production nécessaires pour créer des emplois et des moyens d’existence pour les pauvres et les exclus.

Produit 4 :

Les groupes vulnérables (jeunes,  femmes, déplacés…) mettent en œuvre des activités d’adaptation et de résilience au climat contribuant à la revitalisation des économies locales.Produit 5:

  • La prise en compte des normes et préoccupations environnementales dans les politiques de développement est effective.

Produit 6 :

  • L’Etat et les collectivités territoriales mettent en œuvre  leurs plans d’actions permettant de réduire les risques de catastrophes et d’améliorer l’assainissement.

Duties and Responsibilities

L'objectif principal du programme est d'accroître la résilience des communautés vulnérables et leur capacité d'adaptation au changement climatique dans les régions de Mopti et Tombouctou, y compris la zone du système Faguibine. Le programme comprend trois composantes présentant les objectifs spécifiques suivantes: 

Résultats spécifiques:Composante 1:

  • Amélioration des mesures de contrôle de l'eau dans les zones tampons.

Résultat 1:

  • Augmentation de la résilience au changement climatique des systèmes locaux d’adduction d'eau dans les régions de  Mopti et Tombouctou.

Composante 2:

  • Résilience des moyens de subsistance des communautés vulnérables.

Résultat:

  • Production des systèmes locaux de subsistance tels que l'agriculture, la pêche, l'élevage et la forêt renforcés dans le cadre du changement climatique.

Composante 3:

  • Renforcement des capacités et génération de connaissances pour l’adaptation.

Résultat:

  • Renforcement des capacités des institutions locales et celles des communautés pour mieux s’adapter au changement climatique.

Objectifs de l'évaluation à mi-parcours:

  • L’examen à mi-parcours évaluera les progrès accomplis vers la réalisation des objectifs et des résultats du programme, tels qu’énoncés dans le Document de projet et mesurera les premiers signes de réussite ou d’échec du programme, de manière à définir les changements qu’il faut opérer pour remettre le programme sur la voie de la réalisation des résultats escomptés. L’examen à mi-parcours examinera aussi la stratégie du projet et les risques concernant sa durabilité.

Approche et methodologie:

  • L’examen à mi-parcours doit fournir des informations fondées sur des données factuelles crédibles, fiables et utiles. L’équipe chargée de l’examen examinera toutes les sources d’informations pertinentes, y compris les documents élaborés pendant la phase de préparation du projet(par exemple, Fiche d’identité du projet (FIP), Plan d’initiation du projet du PNUD, Politique de sauvegardes environnementales et sociales du PNUD, le Document de projet, les rapports de projets dont l’Examen annuel de projets/PIR, la révision des budgets du projet, les rapports d’enseignements tirés, les documents stratégiques et juridiques nationaux, et tout autre matériel que l’équipe juge utile pour étayer l’examen). L’équipe chargée de l’examen à mi-parcours examinera l’outil de suivi de référence du domaine d’intervention du GEF présenté au GEF avec l’approbation du responsable, et l’outil de suivi à mi-parcours du domaine d’intervention du GEF qui doit être complété avant le début de la mission sur le terrain, conduite pour l’examen à mi-parcours;
  • L’équipe chargée de l’examen à mi-parcours doit suivre une approche collaborative et participative  afin d’assurer une participation active de l’équipe du projet, des homologues gouvernementaux (le point focal opérationnel du GEF), des bureaux de pays du PNUD, des conseillers techniques régionaux PNUD-GEF, et autres parties prenantes principales;

La participation des parties prenantes est fondamentale à la conduite de l’examen à mi-parcours avec succès.  Cette participation doit consister en des entretiens avec les parties prenantes qui assument des responsabilités liées au programme, à savoir entre autres : Fonds d’Adaptation de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques, Comité de Pilotage, Programme des Nations Unies pour le Développement, l’Agence de l’Environnement et du Développement Durable, les Gouverneurs des Régions de Mopti et de Tombouctou, les Maires des 20 communes cibles du programme, les Services techniques, les Organisations de la Société Civile notamment la Coordination des Associations et Ongs Feminine (CAFO), l’Organisation pour la Mise en Valeur du Système Faguibine (OMVF) et la MINUSM, etc. En outre, l’équipe chargée de l’examen à mi-parcours doit conduire des missions sur le terrain dans les communes des régions de Mopti et Tombouctou notamment sur un échantillon de sites choisis en fonction du contexte et de l’accessibilité Annexe G;Le rapport final d’examen à mi-parcours doit exposer en détails l’approche appliquée pour l’examen, en indiquant explicitement les raisons ayant motivé cette approche, les hypothèses de départ, les défis à relever, les points forts et les points faibles des méthodes et de l’approche appliquées pour l’examen.Portée détaillée de l'examen a mi parcours:

  • L’équipe chargée de l’examen à mi-parcours évaluera l’évolution du programme dans les quatre catégories mentionnées ci-après. Veuillez consulter le document Directives pour la conduite de l’examen à mi-parcours des projets appuyés par le PNUD et financés par le GEF pour obtenir une description détaillée de ces catégories.

Stratégie de projet:Conception de projet :

  • Analyser le problème auquel s’attaque le projet et les hypothèses de base. Passer en revue les conséquences de toute hypothèse erronée ou de tout changement contextuel sur la réalisation des résultats du projet tel qu’énoncés dans le Document de projet;
  • Examiner la pertinence de la stratégie du projet et évaluer si c’est le moyen le plus efficace d’atteindre les résultats escomptés. Les enseignements tirés d’autres projets pertinents ont-ils été convenablement pris en considération dans la conception du projet;
  • Étudier la façon dont le projet répond aux priorités du pays. Faire le point sur l’appropriation nationale. Le concept du projet est-il conforme aux priorités et plans nationaux pour le développement sectoriel du pays (ou des pays participants s’il s’agit de projets multi-pays);
  • Examiner les processus décisionnels : les points de vue des personnes qui seront concernées par les décisions du projet, de celles qui pourraient influer sur les résultats et de celles qui pourraient contribuer à l’information ou à d’autres ressources visant le processus, ont-ils été pris en considération pendant la conception de projet ;
  • Examiner la mesure dans laquelle les questions pertinentes en matière de genre ont été soulevées pendant la conception du projet. Voir annexe 9 des Directives pour la conduite de l’examen à mi-parcours des projets appuyés par le PNUD et financés par le GEF pour obtenir d’autres instructions;
  • Indiquer s’il y a des domaines de préoccupation majeure qui nécessitent des améliorations.

Cadre de résultats/cadre logique :

  • Procéder à une analyse critique des indicateurs et cibles du cadre logique du projet, évaluer la mesure dans laquelle les cibles à mi-parcours sont « SMART » (spécifiques, mesurables, réalisables, pertinentes et limitées dans le temps), et proposer des modifications/révisions spécifiques aux cibles et indicateurs lorsque nécessaire;
  • Les objectifs, résultats ou éléments du projet sont-ils clairs, applicables dans la pratique et réalisables dans les délais fixés;
  • Examiner si les progrès réalisés à ce jour ont produit, ou pourraient produire à l’avenir, des effets bénéfiques pour le développement (par exemple, génération de revenus, égalité des sexes et autonomisation des femmes, meilleure gouvernance, etc...) qu’il faudrait intégrer au cadre de résultats du projet et suivre annuellement;
  • S’assurer que l’on suit efficacement les aspects généraux en matière de développement et de genre du projet. Mettre au point et recommander des indicateurs de développement « SMART », notamment des indicateurs ventilés par sexe et des indicateurs faisant apparaître les effets bénéfiques pour le développement.

Progrès vers la réalisation des résultats:Analyse de progrès vers les réalisations :

  • Passer en revue les indicateurs du cadre logique à la lumière des progrès accomplis vers la réalisation des cibles de fin de projet, à l’aide de la Matrice des progrès vers la réalisation des résultats et les Directives pour la conduite de l’examen à mi-parcours des projets appuyés par le PNUD et financés par le GEF ; les progrès sont indiqués par couleur selon le principe des « feux tricolores » en fonction du niveau de progrès obtenus pour chaque réalisation ; formuler des recommandations pour les secteurs entrant dans la catégorie « Ne sont pas en voie de réalisation » (en rouge);
  • Le consultant pourra obtenir la matrice des progrès vers la réalisation des résultats au niveau du l’unité Mandatrice.

Après analyse des progrès vers l’obtention des réalisations :

  • Comparer et analyser l’outil de suivi de départ du GEF avec celui réalisé juste avant l’examen à mi-parcours.
  • Identifier les obstacles entravant toujours la réalisation des objectifs du projet pour la période restante du projet.En passant en revue les effets bénéfiques du projet à ce jour, définir les moyens par lesquels on pourrait accroître ces effets.

Mise en œuvre des projets et gestion réactive:Mécanismes de gestion :

  • Examiner l’efficacité globale de la gestion de projet telle qu’énoncée dans le Document de projet. Des changements ont-ils été apportés et sont-ils efficaces ? Les responsabilités et la structure hiérarchique sont-elles claires ?  Le processus décisionnel est-il transparent et entamé en temps utile ?  Recommander les améliorations à introduire;
  • Étudier la qualité d’exécution de l’organisme d’exécution/des partenaires de mise en œuvre et recommander les améliorations à introduire;
  • Étudier la qualité de l’appui fourni par l’organisme partenaire du GEF (PNUD) et recommander les améliorations à introduire.
  • Planification des activités :
  • Passer en revue tout retard intervenu dans le démarrage et la mise en œuvre du projet, définir ce qui a causé ces retards et voir si les causes ont été éliminées;
  • Les processus de planification des activités sont-ils axés sur les résultats ? Si non, proposer des moyens de réorienter la planification des activités de manière à ce qu’elle soit axée sur les résultats;
  • Examiner l’application du cadre de résultats/cadre logique du projet en tant qu’outil de gestion et examiner tout changement qui y a été apporté depuis le début du projet.

Financement et cofinancement :

  • Etudier la gestion financière du projet, en s’attachant particulièrement au rapport coût-efficacité des interventions;
  • Passer en revue tout changement d’allocations de fonds résultant de révisions budgétaires, et évaluer l’adéquation et la pertinence de ces révisions;
  • Le projet s’accompagne-t-il des contrôles financiers appropriés, notamment en matière de communication de données et de planification, permettant à la direction de prendre des décisions budgétaires éclairées et de verser les fonds en temps utile;
  • Sur la base du tableau de suivi du cofinancement à remplir, formuler des commentaires sur le cofinancement : le cofinancement est-il stratégiquement appliqué pour contribuer à la réalisation des objectifs du projet ? L’équipe chargée du projet organise-t-elle régulièrement des réunions avec les partenaires de cofinancement en vue d’harmoniser les priorités de financement et les plans annuels de travail.

Systèmes de suivi et d’évaluation au niveau du projet :

  • Examiner les outils de suivi actuellement utilisés : fournissent-ils les informations nécessaires ? Impliquent-ils la participation des principaux partenaires ? Sont-ils alignés sur ou intégrés dans les systèmes nationaux ?  Utilisent-ils les informations existantes ? Sont-ils efficients ? Sont-ils rentables ? D’autres outils sont-ils nécessaires ? Comment pourraient-ils être plus participatifs et plus inclusifs;
  • Etudier la gestion financière du budget de suivi et d’évaluation du projet. Les ressources allouées sont-elles suffisantes pour le suivi et l’évaluation ? Ces ressources sont-elles efficacement allouées.

Participation des parties prenantes :Gestion des projets :

  • Les partenariats nécessaires et appropriés ont-ils été mis en place et renforcés avec des parties prenantes directes et indirectes;

Participation et processus menés par les pays :

  • Les parties prenantes gouvernementales aux niveaux local et national appuient-elles les objectifs du projet ?  Jouent-elles toujours un rôle actif dans les décisions prises concernant le projet qui appuient l’efficience et l’efficacité de la mise en œuvre du projet;
  • Participation et sensibilisation du public : dans quelle mesure la participation des parties prenantes et la sensibilisation du public contribuent-elles à faire progresser la réalisation des objectifs du projet.

Communication de données :

  • Evaluer la manière à laquelle la direction du projet a fait part des changements découlant de la gestion réactive et les a notifiés au Comité de pilotage du projet;
  • Evaluer si l’équipe du projet et les partenaires se conforment comme il se doit aux exigences de communication de données du GEF (c’est-à-dire, les mesures prises pour donner suite à une mauvaise évaluation dans le PIR,  le cas échéant ?);
  • Evaluer la façon dont les enseignements tirés du processus de gestion réactive ont été étayés par des documents, communiqués aux principaux partenaires et intégrés par ces derniers.

Communication :

  • Examiner la communication interne avec les parties prenantes concernant le projet : la communication est-elle régulière et efficace ? Certaines parties prenantes principales sont-elles exclues de la communication ? Des mécanismes de retour d’informations existent-il dans le cadre de la communication ? La communication avec les parties prenantes contribue-t-elle à sensibiliser ces dernières aux réalisations et aux activités liées au projet, et aux investissements pour la durabilité des résultats du projet ;
  • Examiner la communication externe concernant le projet : des moyens de communication appropriés sont-ils en place ou en cours de mise en place, pour faire part au public des progrès accomplis dans le cadre du projet et de son impact escompté (existe-t-il un site Internet par exemple ? Ou le projet a-t-il mis en œuvre des campagnes appropriées de sensibilisation du public ?);
  • Aux fins de la communication de données, rédiger un paragraphe d’une demi page pour résumer les progrès accomplis vers la réalisation des résultats du projet, en matière de contribution aux effets bénéfiques pour le développement durable et aux effets bénéfiques pour l’environnement mondial.

Durabilité:

  • Vérifier si les risques définis dans le Document du projet, l’Examen annuel du projet /PIR et le module ATLAS de gestion des risques sont les plus importants et si les évaluations des risques sont appropriées et à jour. Dans la négative, expliquer pourquoi.

En outre, évaluer les risques pour la durabilité dans les catégories suivantes :Risques financiers pour la durabilité :

  • Quelle est la probabilité qu’il n’y ait pas de ressources financières et économiques disponibles après la fin de l’aide du GEF (considérer que les ressources possibles peuvent provenir de sources multiples, comme les secteurs public et privé, les activités génératrices de revenus, et autres financements pouvant être des ressources financières adaptées à la durabilité des réalisations du projet) .

Risques socio-économiques pour la durabilité :

  • Existe-t-il des risques sociaux ou politiques susceptibles de menacer la durabilité des réalisations du projet ? Quel est le risque que le niveau d’appropriation par les parties prenantes (y compris par les gouvernements et autres parties prenantes principales) ne soit pas suffisant pour permettre de maintenir les réalisations/bénéfices du projet ? Les différentes parties prenantes principales ont-elles conscience qu’il est dans leur intérêt de maintenir les bénéfices du projet ? La sensibilisation du public/des parties prenantes est-elle suffisante pour appuyer les objectifs à long terme du projet ? L’équipe du projet étaye-t-elle par des documents les enseignements tirés en permanence, et ces documents sont-ils communiqués aux parties concernées, lesquelles pourraient apprendre du projet et potentiellement le reproduire et/ou le reproduire à plus grande échelle à l’avenir.

Risques liés au cadre institutionnel et à la gouvernance pour la durabilité :

  • Les cadres juridiques, les politiques, les structures de gouvernance et les processus présentent-ils des risques qui pourraient menacer la durabilité des bénéfices du projet ? Lors de l’évaluation de ce paramètre, examiner également des systèmes/mécanismes exigés pour la responsabilité, la transparence et le transfert des connaissances techniques sont en place.

Risques environnementaux pour la durabilité :

  • Existe-t-il des risques environnementaux qui pourraient menacer la durabilité des réalisations du projet.

Conclusions et recommandations:

  • L’équipe chargée de l’examen à mi-parcours inclura un paragraphe dans le rapport, exposant les conclusions fondées sur des données probantes de l’examen à mi-parcours, à la lumière des résultats;
  • Des recommandations seront formulées sous forme de propositions succinctes d’interventions fondamentales qui seront spécifiques, mesurables, réalisables et appropriées;
  • Un tableau des recommandations devrait être joint au résumé du rapport.
  • Veuillez consulter les Directives pour la conduite de l’examen à mi-parcours des projets appuyés par le PNUD et financés par le GEF pour obtenir des instructions sur le tableau des recommandations;
  • L’équipe chargée de l’examen à mi-parcours devra formuler 15 recommandations au maximum.

Évaluation:

  • L’équipe chargée de l’examen à mi-parcours communiquera les évaluations faites des résultats du projet et fera une brève description des réalisations associées dans le Tableau de résumé des évaluations et réalisations dans le résumé du rapport de l’examen à mi-parcours. Voir l’annexe E pour consulter la grille des évaluations. Des évaluations de la stratégie du projet et du projet dans son ensemble ne sont pas exigées.

Competencies

Compétences Organisationnelles :

  • Intégrité en accord avec les valeurs et les normes éthiques de l’ONU ;
  • Fait le plaidoyer pour la vision, la mission, et les buts stratégiques des Nations Unies ;
  • Flexibilité et une adaptabilité aux aspects culturels, de genre, de religion, de race, de nationalité et d’âge.

Compétences Fonctionnelles :

  • Développement et efficacité opérationnelle ;
  • Capacité d’appuyer l’identification, la formulation, la mise en œuvre des programmes et projets de développement, y compris en contexte instable ;
  • Capacité de communication avec les différents partenaires, agences du SNU, OSC, le gouvernement.

Gestion et leadership :

  • Focalisé sur les résultats ;
  • Répond de manière constructive aux appréciations ;
  • Aborde constamment le travail avec énergie et ponctualité, ainsi qu’avec une attitude positive et constructive ;
  • Démontre de solides compétences en communication orale et écrite.

Required Skills and Experience

Education:

  • Diplôme BAC+5 ou équivalent dans un des domaines suivants : agronomie, planification, gestion des ressources naturelles, environnement, science climatique etc…

Expérience:

  • 05 ans minimum d’expérience professionnelle pertinente dont 3 ans dans les évaluations de projets et dans la gestion axée sur les résultats ;
  • Une connaissance du projet est un atout ;
  • Avoir une expérience dans le domaine de l’adaptation, de l’atténuation et de la résilience ;
  • Avoir une connaissance du contexte institutionnel de l’adaptation aux changements climatiques au Mali ;
  • La connaissance des interventions du PNUD, du FEM et du Fonds d’adaptation peut constituer un atout.

Langue:

  • Une excellente maîtrise de la langue française est exigée tant écrite qu’orale.

N.B : comme atouts : connaissance de Régions de Mopti et de Tombouctou  et connaissance  sur les changements climatiques :Modalités de paiement et spécifications:

  • Il sera versé 20% à la signature du contrat, 40% à la présentation et l’approbation du rapport provisoire d’évaluation mi-parcours et 40% à la présentation et l’approbation (par le BP et le CTR du PNUD) du rapport définitif d’évaluation mi-parcours.
UNDP is committed to achieving workforce diversity in terms of gender, nationality and culture. Individuals from minority groups, indigenous groups and persons with disabilities are equally encouraged to apply. All applications will be treated with the strictest confidence.
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